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LES BREVES
18 avril 2024

28 octobre 2005 : Un Polonais vainqueur du Concours Chopin
Devenant le quatrième Polonais à remporter la récompense suprême dans son propre pays, le pianiste Rafal Blechacz, tout juste âgé de 20 ans, s'est vu décerner la semaine dernière à Varsovie (Pologne) le premier prix du 15e Concours International de Piano Chopin, qui a lieu tous les cinq ans et réunissait cette année plus de quatre-vingts participants de toutes nationalités. Il a également remporté le Prix de la meilleure interprétation d'une Polonaise, d'une Mazurka et d'un Concerto. Le jury a en outre décidé de ne pas attribuer de deuxième prix, mais a gratifié les frères Dong Min Lim et Dong Hyek Lim du troisième prix. Parmi les plus célèbres lauréats du Concours Chopin, on compte rien moins que Krystian Zimerman, Martha Argerich, Maurizio Pollini ou encore Stanislav Bunin. Le Concours est à ce point difficile plusieurs éditions se sont soldées par une absence de premier prix.


27 octobre 2005 : Réponses et vainqueurs du Concours du Salon du patrimoine
Question n° 1 : Quel chef d'orchestre dirige le Ring de Wagner en 2005-2006 au Théâtre du Châtelet ?

Christoph Eschenbach

Question n° 2 : Qui est le metteur en scène des Noces de Figaro reprises au Théâtre des Champs-Elysées en octobre 2005 ?

Jean-Louis Martinoty

Question n° 3 : Quelle prestigieuse salle d'opéra, restaurée en 2005, doit rouvrir le 19 novembre prochain ?

La Salle Garnier, Monte Carlo


Liste des vainqueurs :
3 bonnes réponses :
Camille Delaforge (Reims)
Nicolas Bonnaud (Paris)
Annamaria Keller (Budapest, Hongrie)
Thierry Faye (Houilles)
Flora Gueste (Le Perreux)
Didier Kersten (Paris)
Alexandra Diaconu (Paris)
Sylvie-Anne Brandone (Le Vésinet)

2 bonnes réponses :
Bruno Boterf (Paris)
Rose-May Assor (Paris)
Christane Noireau (Contre)
Jacques Soyer (Malakoff)
Loïc Leroux (Paris)
Jean-Paul Salembier (Paris)
Claire Oneglia (Lyon)
Arlette Bochot-Perrée (Nice)
Loïc Le Guernigou (Paris)

Bravo à toutes et à tous !

L'équipe d'Altamusica.com


24 octobre 2005 : La Grande fugue retrouvée à Philadelphie
Une partition de quatre-vingts pages écrite de la main même de Beethoven et dont on avait perdu la trace il y a cent quinze ans, a été retrouvée près de Philadelphie (nord-est des Etats-Unis), a annoncé la maison de ventes Sotheby's, qui sera chargée de la mettre aux enchères. Sa valeur est estimée de 1,7 million à 2,6 millions de dollars. Jamais une pièce de Beethoven d'une telle importance n'avait été mise sur le marché depuis des décennies. La précieuse partition de la Grande Fugue a été retrouvée en juillet par la bibliothécaire d'un séminaire évangélique près de Philadelphie, qui mettait de l'ordre dans des archives conservées au sous-sol. Le manuscrit a ensuite été transmis pour authentification à Sotheby's, qui a assuré qu'il était bien de la main du compositeur allemand. Le document sera offert aux enchères lors d'une vente organisée à Londres le 1er décembre. Auparavant le public pourra l'admirer chez Sotheby's à New York du 16 au 19 novembre. Selon Sotheby's, il contient de nombreuses annotations et ratures, ce qui en fait sa valeur, selon les experts, car les modifications, souvent au crayon rouge, reflètent la façon dont procédait le compositeur. Ce document de travail de 1826, un an avant la mort du compositeur, est la seule source manuscrite complète de la version de la Grande Fugue pour piano à quatre mains, une pièce difficile à l'origine composée pour un quatuor à cordes. « La passion et les difficultés de Beethoven quand il travaillait peuvent se voir graphiquement : plus la musique est intense, plus les annotations sont étendues », relève la maison de ventes. La Grande fugue fait partie des dernières compositions de Beethoven du temps de sa surdité. Le manuscrit avait été vu pour la dernière fois lors d'une vente aux enchères à Berlin en 1890. Il avait alors été acheté par William Howard Doane, industriel de Cincinnati (Ohio) et collectionneur de partitions. En 1952, sa fille Marguerite fit un don à l'Eastern Baptist Theological Seminary pour la construction d'une chapelle. Y figuraient plusieurs partitions dont une fantaisie et une sonate de Mozart, et la Grande Fugue de Beethoven. La partition de Mozart fut redécouverte dans les locaux du séminaire en 1990. « L'extraordinaire découverte [de la partition de Beethoven] nous rappelle l'excitation d'il y a quinze ans », a commenté le directeur du séminaire, Wallace Charles Smith. « A l'époque on l'appela “le miracle Mozart”. Aujourd'hui, il semble approprié d'être reconnaissants pour la “bénédiction Beethoven” ».


20 octobre 2005 : L'Opéra de Paris reprend les Joyaux de Balanchine
Le Ballet de l'Opéra de Paris reprend au Palais Garnier pour neuf représentations, du 28 octobre au 13 novembre, le triptyque de George Balanchine Joyaux, remonté et présenté depuis 2000 dans des décors et des costumes du couturier Christian Lacroix. Ce programme sera en alternance à l'affiche de Garnier avec la création mondiale de Caligula dans la chorégraphie de l'étoile Nicolas Le Riche.
Plusieurs distributions alterneront pour Emeraudes sur la musique de Fauré, Rubis sur Capriccio de Stravinsky et Diamants sur des extraits de la 3e symphonie de Tchaïkovski. L'étoile Mathieu Ganio fera ses débuts notamment dans le premier pas de deux de Emeraudes et des espoirs de la compagnie assumeront des prises de rôle, comme Dorothée Gilbert dans le pas de trois de Emeraudes et Hervé Moreau dans Diamants.
La représentation du 28 octobre sera ouverte par le traditionnel défilé du Ballet de l'Opéra de Paris, de ses étoiles et de son Ecole de danse, et une reprise de la chorégraphie Véronique Doisneau de Jérôme Bel, consacré à cette danseuse du corps de ballet.


17 octobre 2005 : Un Lac des cygnes très mâle à Mogador
Le Théâtre Mogador présentera, pour la première fois à Paris, du 16 novembre au 8 janvier 2006, une version made in England du Lac des cygnes à tendance gay, alignant des cygnes masculins au lieu des habituels cygnes femelles. Cette réalisation, où le corps de ballet féminin est remplacé par un ensemble masculin menaçant, toujours sur la musique de Tchaïkovski, a été créée en 1995 au Sadler's Wells de Londres et depuis a été présenté aux Etats-Unis, en Europe et au Japon, avant de faire l'objet d'une captation DVD. La Maison de la danse à Lyon l'a programmmée pour la première fois en France en 2002. Le Britannique Matthew Bourne, formé au Laban Centre à Londres, a signé pour sa compagnie, New Adventures, la chorégraphie de ce Swan Lake peu ordinaire qui situe l'action à la cour royale d'Angleterre avec des similitudes avec la saga des Windsor. Pour le chorégraphe, « l'idée d'un cygne masculin est tout à fait logique : la force, la beauté, l'envergure des ailes de ces oiseaux me rappelle la musculature d'un danseur beaucoup plus qu'une ballerine en tutu blanc ».

 
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