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CHRONIQUES / Recherche par
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23 avril 2024
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Les auteurs:
La rédaction
Laurent VILAREM
Mehdi MAHDAVI
Michel LE NAOUR
Michel PAROUTY
Monique BARICHELLA
Nicole DUAULT
Olivier BERNAGER
Olivier BRUNEL
Olivier ROUVIERE
Mehdi MAHDAVI
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Contre-ténors superstars
Ă€ l’occasion de son Festival baroque, le Theater an der Wien s’est offert les meilleurs contre-tĂ©nors du moment. PrĂ©cĂ©dant David Daniels, qui y donnera un programme consacrĂ© Ă Bach et Haendel le 22 octobre, Max Emanuel Cencič se mesure Ă Farinelli, et Bejun Mehta au non moins lĂ©gendaire Guadagni dans une nouvelle production d’Orfeo ed Euridice de Gluck dirigĂ©e par RenĂ© Jacobs. Le 16/10/2008
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Beaune 2008 :
Nulle part ailleurs
À l’heure où la musique dite classique semble irrémédiablement entrée dans la dynamique implacable d’un marketing globalisé qui risque, à terme, de la dénaturer, Beaune demeure, comme au premier jour, un bastion de l’artisanat. Rendez-vous incontournable d’une grande famille baroque qui ne cesse de s’agrandir, le festival allie chaque année fidélité et découvertes. Le 27/07/2008
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De l'acrobate baroque à la tragédienne romantique
S'il est bien un répertoire qu'il est temps de redécouvrir, après s'être penché avec autant de science que d'ardeur sur toute la période musicale qui le précède, il s'agit de celui qui, exception faite de la Sainte Trinité Gluck, Haydn, Mozart, mène de la rhétorique baroque à la sensibilité romantique. Le Cercle de l'Harmonie s'en est fait le nécessaire champion. Le 20/03/2008
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Trois visages de René Jacobs
Comme pour mieux combattre les idées reçues, contre lesquelles chacune de ses interprétations est un manifeste, René Jacobs a choisi d'illustrer le versant profane de son Domaine privé à la Cité de la musique avec un opéra allemand, la trop rare Patience de Socrate de Telemann, et le versant profane par un oratorio italien, la très sensuelle Maddalena ai piedi di Cristo de Caldara. Le 22/10/2007
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Apothéose d'une renaissance
Ils sont venus, ils sont tous là . Pas un de ceux qui en ont fait la jeune et néanmoins glorieuse histoire ne manque à l'affiche du vingtième anniversaire du Centre de Musique Baroque de Versailles. En plus de cent concerts, les baroqueux d'hier et d'aujourd'hui célèbrent l'apothéose de la renaissance de la musique de l'ancien régime en son temple de démesure. Le 18/10/2007
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L'anti-récital selon Pierre-Laurent Aimard
Dès lors que même les plus grandes stars peinent à faire salle comble, l'exercice du récital vocal se doit de trouver un second souffle. Avec un cycle de cinq concerts, dont trois cette saison, confié à Pierre-Laurent Aimard, Gerard Mortier s'est engagé dans la rénovation de cet art délicat, en lui appliquant les mêmes remèdes qu'à l'opéra. Le 09/07/2007
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Odyssée lyrique
Dans le cadre du cycle consacré à la figure d'Ulysse, la Cité de la musique proposait deux opéras : le Retour d'Ulysse de Monteverdi, réalisé plutôt que dirigé par Christophe Rousset, qui s'est de nouveau révélé comme un monteverdien d'exception, et le très rare Ulysse de Jean-Féry Rebel, défendu avec conviction par le très lullyste Hugo Reyne. Le 11/06/2007
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Saint Jean en quatre stations
La musique de Bach serait-elle le remède à la crise de la foi ? À en croire l'engouement du public pour les Passions proposées durant le carême, le récit des derniers jours du Christ fascine toujours. Du théâtre, à l'église, sur instruments anciens ou modernes, pas moins de quatre Saint Jean en ont exalté, au-delà du sacré et par l'extrême diversité des approches, la force expressive et dramatique. Le 10/04/2007
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Gardiner enfin rendu Ă Rameau
Il aura donc fallu attendre vingt-cinq ans pour que Rameau soit rendu à Gardiner. Comme réduite au silence par le phénoménal succès d'Atys de Lully, la remarquable contribution du chef britannique à la réhabilitation de la tragédie lyrique était du même coup passée à la légende. Dans le cadre de son Domaine privé à la Cité de la musique, il y revient avec un bonheur intact. Le 16/02/2007
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Un Château en Suède
Œuvre rare, chanteur aphone, doublure hasardeuse, l'équation n'avait guère réussi à la Medea de Cherubini présentée en juillet dernier au Théâtre du Châtelet. Pour Zoroastre, pas même de doublure, mais une contrainte : jouer pour les caméras. Au moins la magie du Théâtre de Drottningholm opère-t-elle. Et puis, ce sont les risques du métier ! Le 19/07/2006
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La virtuosité à la fête Montpellier 2021 (4) :
De la Terre aux ÉtoilesMontpellier 2021 (2) :
De la Terre aux Cigales [ Toutes les chroniques ]
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