Johnny Johnson de Kurt Weill à Caen
Un homme de bonne volonté
On a trop souvent reproché à Kurt Weill, dans sa période dite "américaine", trop spectacle et "music-hall", en quelque sorte d'avoir perdu son âme. C'est aller un peu vite. Car sa musique cultive encore à l'envi cette tendresse agressive qui la rend inimitable, et ses sujets grattent encore le public là où ça le démange.
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Lutte des classes
Petits bonheurs au purgatoire
Folle équipe
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