22/08/2004 | |
Salzbourg 2004 (3) :
l'Ecole des amants à l'heure de la réforme
Reprise du nouveau Così fan tutte mis en scène par Ursel et Karl-Ernst Hermann au festival de Salzbourg 2004.
Großes Festspielhaus, Salzburg
Pour cette reprise du nouveau Così présenté par les époux Hermann en avril dernier, l'affiche a été entièrement renouvelée, au profit d'artistes beaucoup moins connus mais tout aussi performants, sinon plus. De quoi ressortir du Grosses Festspielhaus toujours titillé par une réforme scénique du chef-d'oeuvre de Mozart et ravi par une prestation musicale admirable.
Par Yannick MILLON
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22/08/2004 | |
Salzbourg 2004 (4) :
L'excommunication pour Georges Prêtre
Concert de l'Orchestre philharmonique de Vienne sous la direction de Georges Prêtre au festival de Salzbourg 2004.
Großes Festspielhaus, Salzburg
Après l'inoubliable 5e de Mahler par les Wiener Philharmoniker et Eschenbach, Georges Prêtre était à son tour invité à diriger la mythique phalange autrichienne. Et c'est avec une Symphonie fantastique littéralement défigurée que le chef français a rencontré lui aussi un triomphe. Le public salzbourgeois n'y connaît visiblement rien à Berlioz ; il faut croire que Prêtre non plus.
Par Yannick MILLON
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20/08/2004 | |
Lucerne 2004 (3) :
Welser-Möst sauvé par l'orchestre
Concert de l'Orchestre de Cleveland sous la direction de Franz Welser-Möst au festival de Lucerne 2004.
Konzertsaal, Kultur- und Kongresszentrum, Luzern
Le festival de Lucerne 2004 invite, comme à l'accoutumée, une série impressionnante de grands orchestres internationaux. Après les prestations de l'Orchestre du Festival et du Mahler Chamber Orchestra, place à Cleveland sous la direction de Franz Welser-Möst. En dépit d'un orchestre magnifique, la soirée sera malheureusement gâchée par l'absence d'une véritable lecture.
Par Benjamin GRENARD
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19/08/2004 | |
Lucerne 2004 (2) :
Mesure au service de la démesure
Concert du Lucerne Festival Orchestra sous la direction de Claudio Abbado avec la participation de Maurizio Pollini au Festival de Lucerne 2004.
Konzertsaal, Kultur- und Kongresszentrum, Luzern
Après son concert d'ouverture, le festival de Lucerne débute son cycle symphonique par la participation de Claudio Abbado et de Maurizio Pollini. L'exécution du 4e concerto de Beethoven place clairement les deux artistes sur la même longueur d'onde, puis la soirée s'achève sur une 5e symphonie de Mahler mémorable.
Par Benjamin GRENARD
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18/08/2004 | |
Bayreuth 2004 : Un Parsifal à grandes oreilles, cimetière interactif pour l'art
Nouvelle production de Parsifal de Wagner mise en scène par Christoph Schlingensief et sous la direction de Pierre Boulez au festival de Bayreuth 2004.
Festspielhaus, Bayreuth
Nous y sommes. Après vingt-quatre ans d'absence à Bayreuth, Boulez remet son Parsifal sur le métier dans le temple wagnérien. Pour l'occasion, Wolfgang Wagner a misé sur le metteur en scène iconoclaste Christoph Schlingensief. De quoi alimenter un véritable feuilleton estival. Et comme la mise en scène du jeune Allemand sombre dans la plus grande confusion, à Bayreuth, on s'enflamme ! Chronique d'un cuisant échec.
Par Yannick MILLON
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18/08/2004 | |
Bayreuth 2004 : Un Parsifal à grandes oreilles, cimetière interactif pour l'art
Nouvelle production de Parsifal de Wagner mise en scène par Christoph Schlingensief et sous la direction de Pierre Boulez au festival de Bayreuth 2004.
Festspielhaus, Bayreuth
Nous y sommes. Après vingt-quatre ans d'absence à Bayreuth, Boulez remet son Parsifal sur le métier dans le temple wagnérien. Pour l'occasion, Wolfgang Wagner a misé sur le metteur en scène iconoclaste Christoph Schlingensief. De quoi alimenter un véritable feuilleton estival. Et comme la mise en scène du jeune Allemand sombre dans la plus grande confusion, à Bayreuth, on s'enflamme ! Chronique d'un cuisant échec.
Par Yannick MILLON
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18/08/2004 | |
Bayreuth 2004 : Un Parsifal à grandes oreilles, cimetière interactif pour l'art
Nouvelle production de Parsifal de Wagner mise en scène par Christoph Schlingensief et sous la direction de Pierre Boulez au festival de Bayreuth 2004.
Festspielhaus, Bayreuth
Nous y sommes. Après vingt-quatre ans d'absence à Bayreuth, Boulez remet son Parsifal sur le métier dans le temple wagnérien. Pour l'occasion, Wolfgang Wagner a misé sur le metteur en scène iconoclaste Christoph Schlingensief. De quoi alimenter un véritable feuilleton estival. Et comme la mise en scène du jeune Allemand sombre dans la plus grande confusion, à Bayreuth, on s'enflamme ! Chronique d'un cuisant échec.
Par Yannick MILLON
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17/08/2004 | |
Salzbourg 2004 (2) :
À l'assaut des grands Wagner
Récital de Violeta Urmana accompagnée au piano par Jan Philip Schulze au festival de Salzbourg 2004.
Mozarteum, Salzburg
À l'écart des grandes productions lyriques de l'été, le Mozarteum de Salzbourg a toujours été le rendez-vous privilégié des amateurs de Liederabend, ces soirées de récital accompagnées au piano permettant d'entendre les grandes voix du moment dans un cadre plus intimiste. Celui de Violeta Urmana aura montré que la grande Sieglinde du moment est en passe de s'envoler vers les plus grands rôles wagnériens.
Par Yannick MILLON
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15/08/2004 | |
Salzbourg 2004 (1) :
Triomphe mahlérien
5e symphonie de Mahler par l'Orchestre philharmonique de Vienne sous la direction de Christoph Eschenbach au festival de Salzbourg 2004.
Großes Festspielhaus, Salzburg
Après Ozawa fin juillet, Muti début août, c'est au tour de Christoph Eschenbach de diriger les Wiener Philharmoniker au Festival de Salzbourg 2004. On attendait évidemment le chef allemand dans son répertoire de prédilection avec un orchestre de cette pointure, et l'on sera ressorti de la salle ébloui par le triomphe d'une 5e symphonie de Mahler absolument sensationnelle.
Par Yannick MILLON
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13/08/2004 | |
Lucerne 2004 (1) :
Abbado maître du temps
Concert d'ouverture du Festival de Lucerne 2004 avec le Lucerne Festival Orchestra sous la direction de Claudio Abbado.
Konzertsaal, Kultur- und Kongresszentrum, Luzern
En offrant aux spectateurs les Quatre derniers Lieder de Strauss et un deuxième acte de Tristan servi par une distribution quasi idéale, le festival de Lucerne avait placé la barre très haut pour sa soirée d'ouverture. Un concert à marquer d'une pierre blanche en dépit de quelques déceptions au plan strictement vocal.
Par Benjamin GRENARD
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