| 16/01/2001 | |
Le soleil se lève au nord
Jukka-Pekka Saraste et l'Orchestre de la Radio finlandaise au Théâtre des Champs-Elysées, Paris.
Théatre du Châtelet, Paris
En tournée à la tête de l'Orchestre symphonique de la Radio finlandaise, Jukka-Pekka Saraste a hissé très haut la bannière des chefs finlandais, dans un programme Strauss-Sibelius idéal pour étaler sa maîtrise des couleurs orchestrales. Avec comme cerise sur le gâteau, la participation de sa compatriote, la soprano Soile Isokoski.
Par Yutha TEP
|
| | | |
| 16/01/2001 | |
Un concert interactif
Intégrale des Quatuors de Beethoven au Théâtre des Bouffes du Nord, Paris.
Théâtre des Bouffes du Nord, Paris
Chaque apparition du Quatuor Prazak fait figure d'événement. Entamée en octobre, leur intégrale des Quatuors de Beethoven se prépare à entrer dans la légende. Avec cependant une première partie tout à fait originale, l'Ensemble Syntonia jouant une oeuvre de Kate Moore.
Par Mathias Heizmann
|
| | | |
| 16/01/2001 | |
Ariane en bonne compagnie
Ariane Ă Naxos Ă l'Abbaye de Royaumont, France.
Maison de la Culture, Amiens
L'Abbaye de Royaumont poursuit avec bonheur sa politique de formation destinée à des jeunes artistes lyriques. Ariane à Naxos, dirigée par Edmond Colomer, a montré la valeur du recrutement effectué.
Par Michel PAROUTY
|
| | | |
| 15/01/2001 | |
Colonne retrouve sa mémoire
Stéphane Denève dirige l'Orchestre Colonne, Salle Pleyel, Paris.
Salle Pleyel, Paris
La Salle Pleyel avait pris, ce soir-là , des allures de lieu de mémoire : l'Orchestre Colonne sous la direction de Gabriel Pierné avait créé l'Oiseau de feu d'Igor Stravinski et Rondes de printemps de Debussy. Près d'un siècle après, la formation retrouve ces oeuvres, mais cette fois avec du sang neuf.
Par Pauline GARAUDE
|
| | | |
| 15/01/2001 | |
Un Banquet au goût aigre
Production de l'ARCAL, Maison de la Musique, Nanterre, France.
Maison de la Musique, Nanterre
La production de l'ARCAL annonçait un bain de jouvence à Cosi fan tutte. Si la mise en scène et une distribution constituée de jeunes talents ont en grande partie tenu leurs promesses, l'orchestre a quelque peu gâté le plaisir des mélomanes. (En photo, Salomé Haller)
Par Michel PAROUTY
|
| | | |
| 15/01/2001 | |
La Didone en habit de rhinocéros
La Didone de Cavalli, nouvelle production de l'Opéra de Lausanne.
Opéra, Lausanne
La nouvelle production de la scène romande révèle un spectacle déroutant, attachant et d'une grande sensibilité. Le cheval de Troie s'africanise pour se transformer en rhinocéros alors que dieux et humains se livrent un combat d'une grande douceur.
Par Sylvie BONIER
|
| | | |
| 15/01/2001 | |
Un Tango un peu guindé
Cycle "Violoncelle & Piano" au Théâtre du Châtelet, Paris.
Théatre du Châtelet, Paris
Notre collaborateur Olivier Bernager avait exprimé son plaisir musical au terme des trois concerts de Frederic Chiu et Gary Hoffman dans leur cycle " Violoncelle et Piano : Parcours dans le Xxe Siècle ". Mathias Heizmann apporte un bémol sur leur dernière prestation du vendredi 12 janvier.
Par Mathias Heizmann
|
| | | |
| 13/01/2001 | |
Scholl festoie chez les Elisabéthains
Récital d'Andreas Scholl au Théâtre des Abbesses, Paris.
Théâtre des Abbesses, Paris
Un peu étouffée par les fracas soulevés par les apparitions de David Daniels, la voix d'Andreas Scholl demeure pourtant unique dans le cercle fermé des contre-ténors. Son concert au Théâtre des Abbesses a été l'occasion d'en prendre acte.
Par Roger TELLART
|
| | | |
| 13/01/2001 | |
Le violoncelle montre la voix
" Violoncelle et piano : parcours dans le Vingtième siècle ", Midis Musicaux du Châtelet, Paris.
Théatre du Châtelet, Paris
Le Théâtre du Châtelet a convié cette année Gary Hoffman et Frédéric Chiu pour nous faire écouter ce que, depuis un siècle, violoncelle et piano avaient à se dire . Dialogue en trois actes, entre deux vieux complices dont les réparties n'ont pas pris une ride.
Par Olivier BERNAGER
|
| | | |
| 11/01/2001 | |
Une architecture de lumières
RĂ©cital de Shlomo Mintz, Salle Verdi, Milan
Sala Verdi, Milano
Ce soir-là , un homme et son violon seuls sur l'ample et sobre plancher de la Salle Verdi du Conservatoire de Milan. En face, près de deux mille spectateurs fidèles de Shlomo Mintz, venus écouter un violoniste qui, se produisant dans ce lieu depuis bien plus de dix ans, se livre cette année à cet exercice d'une hardiesse rare.
Par Lorenzo QUATTROPANI
|
| | | |
