CONCERTS
Contrepoint et syncopes
Sir Simon Rattle et l’Orchestre symphonique de Londres présentent un programme américain à la Philharmonie de Paris autour de Gershwin, comprenant le célèbre Concerto en fa et deux ouvertures aux rythmes entraînants. Si la création française de Frenzy de John Adams ne convainc pas, la Symphonie n° 3 de Roy Harris constitue le sommet de la soirée.
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CONCERTS
En attendant…
Pendant l’entrée du public, le drame de la vie de Und se joue déjà car les musiciens de l’Ensemble TM+, dirigés par Laurent Cuniot, installent l’atmosphère sombre et inquiétante de la pièce. Entre Beckett, Cocteau et Poulenc, l’attente trouve, dans ce monodrame de D’Adamo, un paroxysme poignant et glaçant porté par d’excellents interprètes.
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CONCERTS
Brève rencontre
Déception relative pour le Concerto pour piano n° 2 de Rachmaninov où le jeu du jeune Coréen, Yunchan Lim semble se dérober à la direction affirmée de Klaus Mäkelä. La Symphonie n° 11 de Chostakovitch, L’année 1905, montre en revanche la symbiose de l’Orchestre de Paris et de son chef dans une lecture emportée.
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EN BREF...
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CONCERTS
Ivresse musicale et picturale
Pour le premier concert de la carte blanche confiée par le musée du Louvre à Klaus Mäkelä et à l’Orchestre de Paris, les musiciens investissent la salle Le Brun et présentent un court mais intense programme où le tumultueux Octuor à cordes de Georges Enesco est précédé de la Battalia savoureuse d’Ignaz Franz Biber.
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CONCERTS
La force de l’inexplicable
Conjonction parfaite pour l’entrée au répertoire de l’Opéra de Paris de The Exterminating Angel. La partition géniale de Thomas Adès fait l’objet d’une mise en scène de Calixto Bieito où la déliquescence de la situation conserve un pouvoir mystérieux de suggestion. Le compositeur conduit un orchestre ultra réactif et une admirable troupe de chanteurs au triomphe.
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CONCERTS
Un fil Ă la patte
La difficulté dramaturgique d’Idoménée de Mozart pèse sur ce spectacle du Grand Théâtre de Genève mêlant les arts plastiques à la chorégraphie de Sidi Larbi Cherkaoui tandis que Lea Desandre (Idamante) et Federica Lombardi (Elettra) résistent à la direction monochrome d’un Leonardo Garcìa Alarcón qui multiplie les effets et les accents.
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