12/04/2001 | | Balzac croque la vie musicale On doit au prolifique Balzac trois nouvelles qui plongent au coeur de la société musicale et littéraire parisienne du XIXe siècle. Son regard d'entomologiste, relayé par une imagination romanesque profusionnelle saisit d'entrée le lecteur et ne le lâche plus. Voici ces bijous enfin réunis et publiés dans leur intégralité.
Par Françoise MALETTRA
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11/04/2001 | | Didon à pierre fendre Au disque, ce ne sont pas les versions de Didon et Énée qui manquent, pourtant aucune n'avait rendu une telle justice, un tel équilibre et surtout une telle jouvence que celle tout de René Jacobs avec l'Orchestra of the Age of Enlightment et une Lynne Dawson dans sa plus belle verve tragique.
Par Olivier BERNAGER
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11/04/2001 | | Une scène sur mesure pour Matthias Goerne Au disque, le nom de Matthias Goerne était jusqu'à présent associé au Lied, domaine qui rassemble bon nombre d'appelés mais peu d'élus. Avec son dernier enregistrement, il entre dans celui de l'opéra par la plus grande porte que l'on puisse tailler dans les galettes en polycarbonate.
Par Michel PAROUTY
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10/04/2001 | | Falstaff perdu entre brumes et soleil À Baden-Baden, à Cagliari, aux Proms de Londres, avant Paris, John-Eliot Gardiner a déjà promené ce Falstaff, qu'il présente fièrement comme le premier "sur instruments d'époque", ceux de son Orchestre révolutionnaire et romantique. Dommage que son plateau vocal soit si inégal.
Par Michel PAROUTY
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09/04/2001 | | Soixantes minutes d'oubli Adapter la musique vocale de Monteverdi au violoncelle est déjà un pari peu évident, mais lorsqu'il s'agit en plus de l'insérer dans un programme qui rassemble Kurtag, Berio, Dutilleux, Donatoni et Dusapin, on mesure la gageure que constitue le dernier enregistrement de Sonia Wieder-Atherton.
Par Françoise MALETTRA
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05/04/2001 | | Mélodies à fleur de l'âme Quoi de plus russe que les mélodies de Glinka ? À travers la poésie de ses contemporains, il explore tout le registre des sentiments qui composent la fameuse et insaisissable "âme russe". La basse Sergei Koptchak les illustrent avec conviction, sinon une maîtrise infaillible.
Par Gérard MANNONI
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04/04/2001 | | La vie secrète des Préludes Si l'intégrale Schubert d'Alain Planès partage un peu les rédacteurs d'Altamusica (pour/contre), son Debussy avait remporté tous les suffrages. Il semble bien que son dernier Chopin suive la même pente radieuse : celle de la précellence.
Par Michel PAROUTY
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02/04/2001 | | Alessandrini porté en triomphe Il Trionfo del Tempo e del Disinganno de Hændel à la cote chez les baroqueux : après Il Giardino Armonico au TCE et en attendant Emmanuelle Haïm et son Concert d'Astrée cet été à Beaune, Rinaldo Alessandrini et son Concerto Italiano viennent à point nommé rappeler au disque leur étonnante lecture de l'an passé.
Par Yutha TEP
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02/04/2001 | | Le cercle magnétique des Prazak On a dit dans ces colonnes l'excellence du Quatuor Prazak. D'oeuvre en oeuvre, de compositeurs en compositeurs, cette formation démontre une compréhension intime des styles et un investissement sans faille. Après Beethoven et Schoenberg, les voici de nouveau à pied d'oeuvre dans Berg et Webern.
Par Mathias HEIZMANN
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29/03/2001 | | Une intimité irrésistible Qui sait ce que serait devenu le luth baroque sans Hopkinson Smith ? En même temps que Savall et peu après Leonhardt ou Brüggen, "Hoppy" a redonné une voix à son instrument et lui a tout simplement appris à respirer. Avant de l'entendre à Paris le 2 avril prochain, on peut replonger dans ses premiers CD réédités par Naïve.
Par Eric SEBBAG
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